Synthèse de presse

Industrie
  • Industrie
    Guillaume Faury estime que la crise de la chaîne d'approvisionnement durera jusqu'en 2023
    Airbus s'attend à ce que la crise de la chaîne d'approvisionnement qui frappe l'industrie aérospatiale mondiale dure jusqu'à l'année prochaine, alors que les fournisseurs s'efforcent d'augmenter la production et que le monde sort de la pandémie. « Nous avons des difficultés à croire que dans deux ans, ce ne sera pas résolu. Ce n'est pas inhabituel. C'est juste la profondeur et l'ampleur de ce qui se passe qui est plus que ce que nous avons vu dans les crises précédentes », explique Guillaume Faury, CEO d’Airbus, dans un entretien au Financial Times à l’occasion du salon aéronautique de Farnborough. « Les chaînes d'approvisionnement mondiales ont de réelles difficultés à fonctionner normalement et ce n'est pas seulement un problème aérospatial ». Les livraisons de moteurs ont été un problème particulier, Airbus compte actuellement 26 « planeurs », c'est-à-dire des avions qui ont été construits mais qui sont stockés sans moteur. CFM International, la coentreprise entre Safran et GE, et Pratt & Whitney, qui fournissent tous deux les moteurs de l'A320, ont toutefois signalé qu'ils étaient de nouveau sur la bonne voie, a déclaré Guillaume Faury, ajoutant qu'il s'attendait à ce qu'Airbus n'ait plus de planeurs d'ici la fin de l'année. Parmi les autres défis figurent les pénuries de main-d'œuvre à l'échelle du secteur, ainsi que la hausse de l'inflation et des coûts énergétiques. Airbus travaille sur des plans d'urgence pour s'assurer que ses principales opérations de fabrication en Europe puissent continuer à fonctionner en cas de pénurie d'énergie cet hiver.

    Financial Times du 21 juillet
  • Industrie
    Eric Trappier annonce des résultats « exceptionnels » pour Dassault Aviation
    Eric Trappier, PDG de Dassault Aviation a présenté les chiffres du premier semestre et s'inquiète des multiples crises, qui risquent de perturber sa montée en cadence. Il a souligné les très bons résultats du groupe, avec des prises de commande « exceptionnelles » pour ses Rafale et ses Falcon. Entrée en vigueur en avril de la vente historique de 80 Rafale aux Emirats Arabes Unis, commande de la Grèce pour 6 avions de combats supplémentaires, signature du méga-contrat indonésien en février, d'importants contrats de long terme pour la maintenance des avions de l'Armée de l'air etc. le carnet de commandes pèse au total 34,1 Md€, contre 20,8 Md€ il y a un an. « Nous n'aurons pas des semestres comme cela tous les ans », s'est félicité le dirigeant. Sur le semestre, le bénéfice net a lui bondi de 28% à 272 M€, pour un chiffre d'affaires stable à 3,1 Md€. Dassault prévoit pour l'année des ventes un peu inférieures à celle de l'an passé (7,23 Md€), sans conséquence puisque ces dernières dépendent du calendrier de livraison, un peu plus faible en 2022 (35 Falcon et seulement 13 avions Rafale, contre 25 en 2021). Une énorme charge de travail attend désormais l'avionneur, les prises de commandes s'élèvent au total à 127 avions, dont 41 avions d'affaires Falcon, rien que pour les 6 derniers mois. Si les premières livraisons de Rafale aux Emiratis ne sont pas attendues avant 2027, Dassault va devoir accélérer les cadences de production, de 2 Rafale par mois à 3, s'il veut tenir les délais. Mais « accélérer encore plus ne sera pas simple, il y a une pénurie de main-d'œuvre » explique Eric Trappier, qui craint que les fournisseurs ne puissent suivre la montée en cadence.

    Ensemble de la presse du 21 juillet
  • Industrie
    EasyJet confirme une commande de 56 A320neo
    Easyjet a confirmé mercredi 20 juillet une commande de 56 appareils Airbus de la famille A320. Cette commande ferme est la confirmation de droits d'achats sécurisés par easyJet il y a quelques années et représente plus de 6,2 Md$ au prix catalogue. La commande comprend également la conversion de 18 appareils A320 de 186 sièges commandés en A321neo d'une capacité de 235 sièges, selon un communiqué. Les appareils commandés viendront peu à peu remplacer une partie de la flotte d'A319 (156 passagers), en service dans la compagnie britannique et dont la moyenne d'âge avoisine 13 ans. Kenton Jarvis, Directeur financier d'easyJet, a déclaré : « Nous pensons que cette commande soutiendra des rendements positifs pour l'entreprise et la réalisation de nos objectifs stratégiques. Les nouveaux appareils s'inscrivent dans la stratégie de développement durable d'easyJet ». La famille A320neo intègre les toutes dernières technologies, notamment des moteurs de nouvelle génération et des Sharklets, qui, ensemble, permettent d'économiser au moins 20% de carburant. easyJet exploite actuellement une flotte de plus de 300 appareils de la famille A320, dont l'A319, l'A320ceo, l'A320neo et l'A321neo, ce qui en fait la plus grande compagnie aérienne au monde exploitant des monocouloirs d'Airbus

    Ensemble de la presse du 21 juillet
  • Industrie
    Thales annonce un très bon 1er semestre, marqué par un niveau de commandes record
    Thales a annoncé un très bon 1er semestre avec un chiffre d'affaires tiré par les activités de sécurité numérique, et un niveau de commandes records porté par les Rafale, a annoncé jeudi 21 juillet le groupe de Défense et de technologies. Également présent dans l'aéronautique civil et dans les satellites, Thales a enregistré un chiffre d'affaires semestriel de 8,3 Md€, en hausse de 7,7% sur un an, indique le groupe dans un communiqué. Plusieurs prises de commandes majeures ont récemment été engrangées pour une somme record de 11,2 Md€, avec notamment 80 chasseurs Rafale pour les Emirats arabes unis et 4 satellites Space Inspire. Affichant un bénéfice net de 566 M€, en hausse de 31% sur un an, le groupe a précisé ses objectifs pour l'année 2022 : il vise désormais un chiffre d'affaires annuel entre 17,1 et 17,5 Md€, soit une croissance comprise entre 3,5% et 5,5%. L'arrêt des activités en Russie devrait priver le groupe d'environ 100 M€ de chiffre d'affaires sur l'année 2022. Le rebond de l'avionique civile est « contrasté », souligne Thales, en précisant que « les activités de services après-vente enregistrent une croissance à deux chiffres, tandis que l’activité de première monte ne se redresse que progressivement, en particulier dans les gros porteurs ». Le secteur Identité et Sécurité numériques progresse, quant à lui, de 19,1%, à 1,6 Md€. Dans les prochains mois, Thales veut « concentrer ses efforts » sur « la gestion des éléments opérationnels qui freinent sa croissance, renforcement de la résilience des chaînes d'approvisionnement, montée en puissance des équipes de recrutement, et sur la retransmission à ses clients des hausses de ses coûts d’achat ».

    Ensemble de la presse du 21 juillet
  • Industrie
    Boeing prévoit plus de 41 000 livraisons d’avions commerciaux d’ici à 2041
    Boeing a présenté lors du salon aéronautique de Farnborough ses nouvelles prévisions des besoins du transport aérien sur les 20 ans à venir. Les prévisionnistes du constructeur américain tablent sur 41 170 nouveaux avions pour une valeur de 7,2 T$. En 20 ans, la flotte mondiale devrait augmenter de plus de 80%. A ce jour, ils prévoient qu’en 2041, la flotte mondiale d’avions de ligne passerait de 25 900 avions en 2019 à 35 400 en 2031 et 47 080 en 2041, et une prévision de croissance du trafic passagers de +3,8% par an. En 2019, juste avant la pandémie, la flotte mondiale en comptait 25 900 et ces mêmes prévisionnistes tablaient sur 49 000 avions en service à l’horizon 2040. En 2021, ils avaient revu à la baisse leurs estimations qui se situaient à 43 500 livraisons d’avions neufs sur 20 ans. La différence avec les prévisions actuelles correspond, pour près de la moitié, par la non prise en compte des livraisons à la Russie sur les 20 ans à venir, soit 1 500 avions au total. « Malgré les défis des deux dernières années, les moteurs de la demande de transport aérien ont peu changé. L’industrie de l’aviation commerciale reste efficace, résiliente et constitue un élément essentiel du monde moderne » a déclaré Ihssane Mounir, Directeur ventes et marketing de Boeing.

    Aerobuzz du 21 juillet
  • Industrie
    VoltAero choisit le moteur électrique ENGINeUS 100 de Safran pour le Cassio 330
    Le prototype Cassio 330 de VoltAero volera avec le moteur électrique ENGINeUS 100 de Safran Electrical & Power, qui sera intégré au système de propulsion parallèle électrique-hybride de l’avion. Le contrat a été signé mercredi 20 juillet au salon aéronautique de Farnborough. Le moteur ENGINeUS 100 fournira une puissance maximale supérieure à 150 kW au décollage et sera intégré, avec un moteur thermique de 150 kW, dans la chaine de propulsion hybride du Cassio 330, unique à VoltAero. L’ENGINeUS 100 inclut une électronique de contrôle dans la machine et sa gestion thermique est assurée par un système optimisé de refroidissement à air. Selon les modalités du contrat, Safran Electrical & Power livrera un moteur ENGINeUS 100 avant la fin de l’année pour l’essai d’endurance au sol du système de propulsion électrique-hybride. Puis l’entreprise fournira un moteur ENGINeUS 100 homologué pour le vol en 2023, afin de permettre à Voltaero de tester le prototype Cassio 330 en vol. La certification du moteur électrique est prévue pour la mi-2023. VoltAero produira des avions Cassio en trois versions : le 330, qui sera le premier à être certifié avec une configuration de quatre à cinq places, le Cassio 480 à six places, puis le Cassio 600, qui permettra d’accueillir 10 à 12 personnes. VoltAero a déjà acquis une certaine expérience avec les moteurs ENGINeUS, et compte à son actif plus de 10 000 km de vol depuis 2019 avec l’avion de banc d’essai Cassio 1, qui intègre deux moteurs ENGINeUS 45 (d’une puissance continue de 45 kW).

    Air et Cosmos du 21 juillet
  • Industrie
    Tikehau Ace Capital finalise l'acquisition de Visco
    Tikehau Ace Capital, société de capital-investissement spécialisée dans l'industrie et l'innovation, a finalisé l'acquisition de la société Visco, spécialiste de l'usinage mécanique de haute précision destiné aux industries de pointe, notamment la défense, l'aéronautique, le spatial, l'armement et l'énergie en France. Cette acquisition devrait permette à Visco de renforcer son positionnement et d'accélérer son plan de développement. Créée en 1908, Visco est implantée près de Montargis. Elle est spécialisée dans la conception, le développement et la fabrication de pièces et de sous-ensembles complexes et à forte valeur ajoutée et est référencée auprès des plus grands acteurs de ces industries de pointe, notamment Thales, Dassault Aviation, Nexter et Safran. La société est reconnue pour la qualité de son outil industriel : Visco dispose d'un parc de plus de 100 machines, et est dotée de savoir-faire intégrés, à la fois dans l'usinage de haute précision de métaux durs ou exotiques et l'assemblage de sous-ensembles complexes.

    Boursier.com du 21 juillet

Défense
  • Défense
    Safran Helicopter Engines signe un contrat pour la maintenance des moteurs des hélicoptères NH90 néo-zélandais
    Safran Helicopter Engines a signé un contrat avec la New Zealand Defence Force pour le soutien des moteurs des NH90 de la Royal New Zealand Air Force. Le contrat Support-By-the-Hour (SBH) de longue durée, porte sur des services de maintenance, réparation et révision (MRO) pour un total de 21 moteurs RTM322. La gestion de ce contrat sera assurée par Safran Helicopter Engines Australia, à Sydney, qui pilote le suivi de plus de 200 opérateurs volant dans les îles du Pacifique (Papouasie-Nouvelle-Guinée, Polynésie française), en Australie et en Nouvelle-Zélande. Aujourd'hui, 90% des heures de vol des RTM322 sont couvertes par un contrat de type GSP (Global Support Package) ou SBH. Celui-ci est le service de maintenance à l’heure de vol de Safran Helicopter Engines. Il permet de donner de la visibilité sur les coûts d’opération des moteurs et de lisser les flux financiers, tout en rendant plus souples les opérations de maintenance programmées et non-programmées. Actuellement, 50% des heures de vol des moteurs de Safran Helicopter Engines sont couvertes par le service SBH, lequel fait partie de la gamme EngineLife Services, les offres de services de Safran pour les moteurs d'hélicoptères.

    Air & Cosmos du 21 juillet
  • Défense
    Airbus Helicopters se positionne pour le programme britannique New Medium Helicopter
    Airbus Helicopters a annoncé la création d’une « task force » H175M et officialisé plusieurs partenariats avec des sociétés britanniques, lors du Royal International Air Tattoo (RIAT). La « task force » présentée par Airbus Helicopters comprend pour l’heure Babcock (activités de support & services), Pratt & Whitney Canada (soutien technique pour la turbine PT6C-67E devant équiper le H175M), Martin-Baker (équipements de bord), et Spirit AeroSystems UK (travail de conception, de fabrication et d’assemblage). D’autres partenaires et fournisseurs britanniques devraient être annoncés dans les mois à venir, avec à terme l’ambition d’offrir 70% de la valeur de l’hélicoptère « made in UK ». Le besoin exprimé par les Britanniques est d’une quarantaine d’appareils, pour un budget total d’environ 1,4 Md€ (comprenant également la formation et le soutien technique). Il s’agirait pour le Royaume-Uni de remplacer à l’horizon 2025 non seulement leurs derniers Puma HC2 encore en service, mais également les Bell 212 et 412 de l’Armée de terre et les quelques AS365 Dauphin encore utilisés en soutien de leurs forces spéciales. Airbus Helicopters trouve face à lui, dans cette compétition, l’anglo-italien Leonardo et son AW149 et l’américain Sikorsky avec son UH-70 Black Hawk. La ligne d’assemblage final se situerait à Broughton, au pays de Galles en cas sélection du H175M pour le New Medium Helicopter, l’industrie britannique gagnant également l’exclusivité des fabrications pour le marché export. Airbus Helicopters promet ainsi la création de centaines d’emplois au Royaume-Uni. Les retombées économiques et industrielles seront par ailleurs un facteur déterminant dans le choix du vainqueur de la compétition, selon les autorités britanniques.

    Aerobuzz du 21 juillet

Environnement
  • Environnement
    Airbus UpNext lance ses essais en vol d’un avion avec un moteur à hydrogène
    Airbus UpNext, la filiale d’Airbus créée en 2015 pour être la tête chercheuse du groupe en matière de technologies du futur, a dévoilé mercredi 20 juillet dans le cadre du salon de Farnborough, son ambition de faire voler deux planeurs pour tester un petit moteur à hydrogène. Ce projet, nommé Blue Condor, constitue une étape majeure vers l’avion zéro émission. « Cette campagne d’essais, qui se déroulera entre l’hiver 2022 et le printemps 2023, permettra de tester un appareil équipé d’un petit moteur à hydrogène à l’altitude des avions de ligne, soit 35 000 pieds, d’apprendre à opérer ce type de moteur et de comprendre son impact sur l’environnement », explique Sandra Bour Schaeffer, PDG d’Airbus UpNext. Si le moteur à hydrogène n’émet pas de CO2, il génère deux fois plus de traînées de condensation, qui sont soupçonnées de participer davantage à l’effet de serre que les émissions de CO2. « Nous avons pour objectif d’en mesurer précisément l’impact réel », insiste Sandra Bour Schaeffer. À cet effet, Airbus UpNext va utiliser deux Arcus-J, des planeurs de haute performance du constructeur allemand Schempp-Hirth. Le 1er sera doté d’un petit moteur à hydrogène développé par Airbus avec des partenaires et le 2nd, d’un moteur classique. Ces deux avions voleront de concert et seront suivis par un autre appareil, qui « reniflera » leurs émissions. Ces essais en vol seront effectués en partenariat avec l’équipe du projet américain Perlan, sponsorisé par Airbus, et se dérouleront dans le nord du Dakota, « où l’atmosphère très froide favorise idéalement la génération de traînées de condensation », précise ensuite Sandra Bour Schaeffer. L’étape suivante, une fois les enseignements tirés de cette campagne, consistera à faire voler un A380 dont un des quatre moteurs sera à hydrogène. Ces démonstrations doivent aider Airbus à faire les bons choix technologiques pour devenir le leader mondial de l’aviation décarbonée.

    Le Figaro du 21 juillet
  • Environnement
    Emmanuel Macron souhaite l’achat de Canadair et « redéployer une stratégie industrielle » pour en construire
    A La Teste-de-Buch, au bord du bassin d'Arcachon, où il est arrivé mercredi 20 juillet dans l'après-midi, Emmanuel Macron a longuement rendu hommage aux pompiers, au personnel de la sécurité civile, aux forces de l'ordre, aux élus et à l'ensemble des personnes mobilisées face aux incendies. Il a ensuite détaillé plusieurs mesures, entre plan pour la forêt, règles anti-incendie, et achats de Canadair. Les 22 avions dont est dotée la protection civile étaient « suffisants ces dernières années », selon le Président, mais il faudra « en acheter plus », a-t-il déclaré. « Le changement que nous sommes en train de vivre va nous imposer de prendre des décisions structurantes pour les années qui viennent ». Il souhaite ainsi « redéployer une stratégie industrielle » pour construire ces appareils et il estime que la réflexion doit être menée à l'échelle européenne. « On a besoin d'une flotte européenne, de capacités opérationnelles nationales et de pré-positionnements zonaux, infranationaux », a-t-il ajouté. L’Union européenne ne compte aujourd’hui qu’une douzaine d’appareils d’urgence mis en commun, ainsi qu’un hélicoptère.

    Ensemble de la presse du 21 juillet

Innovation
  • Innovation
    Latécoère est partenaire du programme « Wing of Tomorrow » mené par Airbus
    Latécoère a annoncé sa participation au programme « Wing of Tomorrow » mené par les équipes britanniques d'Airbus. Le programme de R&T va pour objectif de tester les derniers matériaux et technologies susceptibles d'améliorer l'aérodynamisme et l'architecture des ailes. Il vise également à optimiser le processus de production et d'industrialisation des ailes afin de répondre aux demandes futures, alors que le secteur sort de la pandémie. En tant que partenaire du programme et grâce à son expertise, Latécoère a participé à la conception et la fabrication de systèmes d'interconnexion de câblage électrique. Deux systèmes de démonstration seront ainsi livrés à Airbus avant la fin de l'année. En plus de ces travaux, Latécoère fournira le système de câblage électrique de l'extrémité de l'aile repliable. Piloté depuis Bristol, avec le soutien des sites de Hambourg, en Allemagne, et de Toulouse, en France, ce projet bénéficie également du soutien financier d'Innovate UK, l'agence nationale d'innovation du Royaume-Uni. « Nous sommes fiers d'apporter nos dernières innovations industrielles en matière de systèmes d'interconnexion à Airbus, partenaire de longue date, dans le but de rendre l'aviation plus efficace et durable », a déclaré Serge Bérenger, Chief R&T and Innovation Officer de Latécoère.

    Zone Bourse du 21 juillet