Synthèse de presse

Formation
  • Formation
    La finale nationale du « Rocketry challenge » se tiendra à Biscarosse du jeudi 19 au dimanche 22 mai
    La finale nationale du Rocketry Challenge aura lieu du 19 au 22 mai 2022 à Biscarrosse. Il s’agit d’un concours de fusées amateurs organisé par Planète Sciences et le GIFAS à destination des jeunes collégiens et lycéens. Les participants doivent construire une fusée qui doit atteindre une altitude précise en un temps donné en ramenant sur Terre une charge utile (deux œufs crus) intacte. La finale internationale aura lieu lors du Farnborough International Airshow en Angleterre du 18 au 22 juillet.

    Sud Ouest du 15 mai

Industrie
  • Industrie
    Les industriels de la défense du CIDEF à la rencontre de la presse, à Bourges
    À l’initiative du Conseil des Industries de Défense Française (CIDEF), les industriels se sont réunis à Bourges le 13 mai pour rencontrer la presse nationale et régionale et faire mieux connaître leurs activités dans les domaines aéronautique, terrestre et naval. Avec la visite des sites de MBDA et Nexter, notamment, une table ronde a été organisée, à laquelle ont participé François Bonneau, président de la région Centre-Val de Loire, Yann Galut, maire de Bourges, la présidente de l'agglomération de Bourges Plus, Irène Félix et les industriels présents. A cette occasion, Éric Béranger, président du Comité Défense du CIDEF et PDG de MBDA, a rappelé que « l’industrie de défense est une des industries les plus normées et les plus régulées. C’est une industrie stratégique qui a besoin de se développer et d’avoir accès aux différents outils, y compris de financement. Or, depuis quelques années, les difficultés augmentent par rapport aux accès au secteur bancaire. ». Interrogé sur les éventuelles tensions sur la chaîne d’approvisionnement liées au conflit en Ukraine, Eric Béranger, se montre prudent : « l’industrie s’adaptera. Ce que je sais, c’est qu’il y a un avant et un après 24 février 2022. Mais quelles traductions concrètes ? Cela résultera de décisions politiques et budgétaires qui fixeront les nouveaux cadres ». À Bourges, 10 000 emplois (sur un bassin de 100 000 habitants) sont liés à l’industrie de défense.

    Le Berry Républicain du 13 mai et RTL le 16 mai

Emploi
  • Emploi
    Safran Aerosystems recrute à Châteaudun
    Une cinquantaine de postes sont à pourvoir chez Safran Aerosystems à Châteaudun. En déplacement sur le site de l’entreprise, Pierre-Antony Vastra, directeur de la communication et secrétaire général de Safran Aerosystems, précise que le groupe « prévoit 40 recrutements, principalement sur les métiers de l’usinage (opérateurs, techniciens…), du montage, de la supply chain mais aussi sur les métiers de la qualité, de l’industrialisation, de l’ingénierie, de la conception… La formation des jeunes est également un enjeu clé pour le site. Nous proposons 15 offres d’apprentissage pour la rentrée 2022 ». « L’atout différenciant du Centre d’excellence industrielle Safran Aerosystems de Châteaudun réside dans les compétences en micromécanique de ses salariés, avec une précision des opérations allant jusqu’au micron. Les principaux produits du site de Châteaudun sont les servovalves, les manocontacts, les servo-vérins, les tubes télescopiques et les vannes d’air que l’on trouve sur les trains d’atterrissage, les moteurs, les systèmes de freinage, de dirigeabilité ou encore d’antigivrage des aéronefs », détaille le directeur général, Philippe Zelus.

    L’Écho Républicain du 16 mai

Adhérent à la une
  • Adhérent à la une
    Rafaut Group devient Aresia
    Après avoir acquis plusieurs entreprises (Secapem & Lun'tech (environ 5M€ de chiffre d'affaires), Lace (10M€) et Alkan & Seca Automatismes (54M€)), Rafaut Group change d’identité et devient Aresia. « Ce changement de nom constitue la deuxième phase de notre transformation. Après la série d’acquisitions que nous avons effectuée, il est important de prendre le temps de définir une culture commune » résume Nicolas Orance, directeur général du groupe. « Ce changement d’identité́ visuelle assied nos nouvelles valeurs et affirme nos nouvelles aspirations. Avec plus de 600 spécialistes, nous avons l’ambition d’apporter tous ensemble des solutions agiles, performantes et sûres pour répondre aux enjeux de l’aéronautique civile et de défense, de contribuer au rayonnement de notre secteur, et avant tout, de satisfaire nos clients » poursuit le président exécutif, Bruno Berthet. Aresia exporte d’ores et déjà dans plus de 65 pays et équipe plus de 100 types d’aéronefs. Avec cette nouvelle identité, le groupe, détenu par HLD Europe, se positionne très fortement sur le marché pour les systèmes d’emport, de délestage, les équipements électroniques embarqués, les systèmes d’entraînement et les équipements de missions pour l’aéronautique civile. Ambitieux, Bruno Berthet anticipe d'ici à 2025 « au moins une acquisition significative » pour tenir l'objectif de 250 M€ de chiffres d'affaires et prévoit « une forte croissance en 2024 » en raison de la montée en cadence des livraisons des Rafale à l'exportation et pour l'armée française, et dans le secteur civil.

    L’Usine Nouvelle, La Tribune, Journal de l’Aviation et Air &Cosmos du 16 mai

Aviation Commerciale
  • Aviation Commerciale
    Le nombre de passagers en hausse dans les aéroports de Paris en avril 2022
    En avril 2022, le trafic de Paris Aéroport croît de 5,6 millions de passagers par rapport à avril 2021, avec 6,933 millions de passagers soit 73,4% du trafic du mois d’avril 2019 (9,44 millions). Le mois dernier, on dénombre 4,599 millions de passagers (soit 70,8% du trafic d’avril 2019) à Paris-Charles de Gaulle et 2,333 millions de passagers à Paris-Orly (soit 79,2% du trafic d’avril 2019). Dans le détail, le trafic métropolitain est en hausse de 741 193 passagers, DROM-COM de 338 452, européen de 2, 8 millions, international de 2,1 millions.

    Air-Journal du 17 mai
  • Aviation Commerciale
    Projet Sunrise : Qantas et Airbus s’allient pour remettre sur les rails les vols ultra long-courriers
    Dans le cadre du contrat dévoilé au début du mois de mai entre Qantas et Airbus, 12 Airbus A350-1000 vont relier par des vols directs de très longue durée, l'Australie (dont sa côte est) et l'Europe à l'horizon 2025. Ces 12 Airbus A350-1000 font partie de la commande de 52 avions incluant 20 Airbus A321 XLR et 20 Airbus A220, avec 94 options d'achats supplémentaires courant jusqu'à la fin 2034. Le montant total de la commande avoisine les 8 Md$. « L’A350 et le projet Sunrise permettront de mettre n'importe quelle ville à un vol seulement de l'Australie. C'est la dernière frontière et la solution finale à la tyrannie de la distance. La cabine sera spécialement conçue pour assurer un confort maximum dans toutes les classes », explique Alan Joyce, le PDG du groupe Qantas. La compagnie australienne proposera ainsi la configuration la plus basse de toutes celles proposées pour la flotte mondiale d’Airbus A350-1000 avec 238 passagers (six suites de première classe, 52 sièges business, 40 sièges premium economy et 140 sièges en classe économique).

    Air&Cosmos du 15 mai
  • Aviation Commerciale
    Avec la reprise du trafic, l’aviation commerciale se consolide
    La reprise du trafic aérien se confirme, les compagnies sont en passe de retrouver leur niveau de 2019 dès cet été. En conséquence, les projets de fusion-acquisition sont relancés aux Etats-Unis, en Amérique du Sud, mais aussi en Europe. Outre-Atlantique, le rachat de la « low-cost » Spirit Airlines est à surveiller. Il s’agit de la deuxième entreprise à bas prix sur le marché domestique. En Amérique du Sud, la brésilienne GOL et la colombienne Avianca pourraient fusionner afin de donner naissance au deuxième groupe de transport aérien du continent. Mais c’est en Europe que les projets sont les plus nombreux avec l’acquisition d’Air Europa par le groupe IAG, l'offre rejetée de Wizz Air sur easyJet et le projet de rachat d'Air Austral par Corsair et surtout, la privatisation d’ITA Airways. La date limite de dépôt des offres est fixée au 23 mai, le gouvernement italien se positionnant fin juin. Dans cette compétition, l’armateur et croisiériste italien MSC allié à Lufthansa fait figure de favori. Air France-KLM pourrait rater cette opportunité car elle n’a pas encore remboursé ses aides d’Etat. Le groupe s'est en effet interdit d'acquérir plus de 10% du capital d'une autre entreprise liée au transport aérien, avant d'avoir remboursé au moins 75% de ces aides. Or, jusqu’à aujourd’hui, Air France n'a remboursé que 500 M€ de ses prêts garantis, sur les 4 Md€ versés par les banques.

    Les Echos du 17 mai
  • Aviation Commerciale
    Publication des résultats annuels de Ryanair
    Ryanair renoue avec la croissance et la rentabilité pour l'exercice 2021-2022. Fort de ses quatre compagnies à bas coûts (Ryanair UK, Malta Air, Lauda et Buzz), le groupe irlandais confirme sa vitalité. Les chiffres publiés lundi confirment un redressement plus fort et plus rapide que ses concurrents mais également, des perspectives de croissance sans équivalent. La perte annuelle nette a été ramenée à 335 M€, contre 1,01 Md€ sur l'exercice précédent. Son chiffre d'affaires a triplé en un an, passant de 1,64 Md€ à 4,8 Md€. Le nombre de passagers a également triplé, passant de 27,5 à 97,1 millions. Le groupe envisage ainsi un retour aux bénéfices en avril 2023. « Nous avons continué à investir en 2021 en prenant livraison de 61 Boeing 737 « game-changer » (des 737 MAX), qui consomment 16% de moins, pour 4% de passagers en plus. Nous avons aussi couvert nos besoins de carburant à 80% d'ici à fin 2023, à un prix très inférieur à ceux du marché. Tout cela nous confère un avantage compétitif sur nos concurrents que nous utilisons pour proposer les prix les plus bas et ainsi, restaurer notre niveau de réservation et gagner des parts de marché » explique Michael O'Leary, PDG de l’entreprise. Cette année, Ryanair devrait mettre en service 70 Boeing 737 Max 8200.

    Le Figaro et les Echos du 17 mai

Espace
  • Espace
    Exotrail signe un contrat avec le Commandement de l’Espace (CDE)
    Spécialisée dans la mobilité dans l'espace, la startup Exotrail a annoncé avoir signé un contrat avec l’Agence de l’Innovation de Défense (AID), pour la fourniture d’un logiciel de simulation et d’analyse de l’environnement spatial au profit du Commandement de l’Espace (CDE). Il s’agit d’une version adaptée d’ExoOPSTM – Mission Design, le logiciel « Software-as-a-Service » de simulation et d’analyse de missions spatiales qui équipe déjà le CNES, Thales Alenia Space et Eutelsat. « Nous sommes extrêmement honorés d’avoir été sélectionnés par l’AID pour la création de nouveaux moyens capacitaires au profit du Commandement de l’Espace avec lequel nous travaillons depuis plus d’une année. Nous sommes également très satisfaits par cette approche innovante de combiner notre produit ExoOPSTM avec des développements spécifiques sous méthodologie « Agile ». C’est, de notre point de vue, une manière efficace de délivrer rapidement une solution adaptée et au plus proche des besoins des opérateurs » se réjouit Sébastien Duménil, directeur commercial d’Exotrail.

    Air&Cosmos du 17 mai