Synthèse de presse

Industrie
  • Industrie
    Bruno Even, PDG d’Airbus Helicopters, prône la préférence européenne en matière militaire
    À Farnborough, où Airbus Helicopters expose son H175 M, la version militaire d’un appareil civil de la classe des 8 tonnes, Bruno Even, PDG du constructeur, détaille ses projets dans la Défense et dans le transport durable, dans un entretien au Figaro. Le H175M est en lice pour renouveler les flottes des armées britanniques. En mai dernier, Londres avait lancé un appel d’offres, qui porte sur l’achat de 44 hélicoptères multi-rôles de transport, afin de remplacer quatre types d’engins : des Puma, Bell 212 et 412, et des Dauphin HC2, pour un budget estimé à 1 Md£ (1,18 Md€). « Si nous gagnons cette compétition, nous construirons une chaîne d’assemblage à Broughton (pays de Galles) pour le H175M », annonce Bruno Even, PDG d’Airbus Helicopters. Leonardo, Textron et Sikorsky sont également sur les rangs, alors que la décision est attendue en 2023. Airbus Helicopters a conservé son rang de numéro un mondial en 2021, avec 60% du marché civil, comprenant le transport médical et de secours, de marchandises, de VIP. En revanche, le marché Oil and Gaz, du transport vers et depuis des plateformes pétrolières et gazières, n’est pas encore reparti. « Nous anticipons une reprise des commandes à partir du second semestre 2023 grâce à la relance des investissements à la suite des tensions provoquées par la guerre en Ukraine », analyse le PDG. Dans le militaire, où il détient 15% du marché mondial, Airbus Helicopters s’attend à de nouvelles commandes à partir du second semestre 2022, alimentées par la hausse des budgets militaires. Le ministère des Armées a notamment confirmé l’achat de 69 H160M, la version militaire d’un nouvel appareil de la classe des 6 tonnes, pour renouveler la flotte d’hélicoptères interarmées légers. Un premier contrat, portant sur 30 engins, baptisés Guépard par les militaires, a été signé pour 1,7 Md€. Avec la formation et la maintenance pendant 10 ans, le contrat s’élève à quelques 3 Md€. Airbus Helicopters prône la préférence européenne en matière de Défense, insiste Bruno Even : « Nous souhaitons, qu’après la France et l’Espagne, l’Allemagne se positionne cet été afin de participer au développement des capacités de l’hélicoptère de combat Tigre, dans le cadre de l’extension du programme jusqu’en 2045 ». Par ailleurs, sur le sujet de la décarbonation, « même si les hélicoptères représentent un pourcentage marginal des émissions de gaz à effet de serre, le transport durable est au cœur de nos priorités », rappelle le PDG. Tous les appareils d’Airbus Helicopters sont certifiés pour voler avec 50% de carburants durables (SAF) et bientôt 100 %, lorsque la réglementation le permettra.

    Le Figaro du 18 juillet
  • Industrie
    Omega Systèmes étend ses capacités sur son site de Nantes pour répondre à la demande des futurs programmes aérospatiaux
    Afin de soutenir l'objectif européen de réduire l'empreinte environnementale du secteur du transport aérien tout en augmentant la compétitivité mondiale, Omega Systèmes, une société de Web Industries, a installé et mis en service une ligne de refendage thermodurcissable dans son centre d'excellence européen de Nantes. Cet investissement a été partiellement financé par une subvention dans le cadre du plan France Relance. La ligne de production sera dédiée à la fabrication efficace de bandes refendues thermodurcissables bobinées dans un environnement contrôlé. Elle permettra également d'améliorer le rendement des matériaux et de réduire les déchets associés pour les clients finaux. Web Industries peut désormais répondre à la demande croissante de ses clients et partenaires pour des services de qualité, quels que soient les formats d'entrée et de sortie des matériaux. « Nous investissons en permanence pour offrir les meilleures normes de production à nos partenaires de la chaîne d'approvisionnement » déclare Sebastian Fehl, Directeur des opérations de Web Industries pour l'Europe, et poursuit « Nous livrerons sur le marché des produits de plus grande valeur qui répondent aux exigences des futurs programmes aéronautiques ».

    Composites World du 15 juillet
  • Industrie
    Airbus prévoit un doublement de la flotte mondiale d’avions
    Après le quasi-arrêt des voyages aériens au cœur de la crise sanitaire, les passagers se pressent dans les aéroports, désireux de rattraper le temps perdu. Un phénomène appelé « revenge travel » outre-Atlantique. Le trafic mondial devrait retrouver son niveau de 2019 entre 2023 et 2025. Airbus a toutefois revu à la baisse sa prévision de croissance du trafic mondial à 3,6% par an d’ici à 2041, contre 3,9% lors de sa précédente étude de novembre 2021. « Cela s’explique par le fait que, pour la première fois, nous avons pris en compte, dans nos modèles, la hausse du prix de l’énergie, liée à la politique de certains pays d’imposer l’utilisation de carburant d’aviation durable (SAF) qui est plus cher », explique Bob Lange, Directeur des études de marché chez Airbus. « Ce qui va se répercuter sur le prix du billet d’avion et certainement sur la croissance du trafic passagers ». En Europe où les avions devront utiliser 10% de SAF mélangé au kérosène d’ici à 2030, le trafic ne devrait progresser que de 1,6% par an sur la période. À comparer avec une hausse annuelle de 7% en Inde et 5% en Chine, pays où le SAF n’est pas encore obligatoire. Les compagnies achèteront 39 480 nouveaux avions, dont 2 440 appareils cargos, dans les 20 prochaines années. Sur ce total, 80%, selon Airbus, seront des avions de type A320neo. En conséquence, la flotte en service va doubler et comptera 46 930 appareils, contre 22 880 en 2020. Seuls 20% des avions en service sont récents, relève Airbus. 80 % de la flotte est donc à remplacer. À horizon 2041, ces avions modernes et sobres en carburant, ainsi que les futurs appareils zéro émission, représenteront 95% de la flotte mondiale. Sur ces marchés, le constructeur européen s’estime bien placé, avec une gamme moderne qui apporte entre 20 et 40% de réduction de carburant comparé aux avions plus anciens.

    Le Figaro et Les Echos du 15 juillet
  • Industrie
    Elixir Aircraft s’engage sur le continent nord-américain
    Elixir Aircraft, le constructeur rochelais d'avions monomoteurs à pistons de 4ème génération, certifié Type 23, a annoncé son engagement et son orientation vers le marché nord-américain. Avec son avion, la société propose un tout nouveau design unique s'appuyant sur des technologies innovantes telles que la cellule Carbone OneShot. Depuis le milieu de l'année 2021, l'entreprise travaille sur sa stratégie et ses plans d'investissement pour le lancement nord-américain et le développement futur de ses activités. Ces domaines de développement comprendront l'investissement dans une équipe de vente et de marketing dédiée aux États-Unis, afin de répondre aux différentes exigences des pilotes propriétaires privés, et des organismes de formation au vol. Un site d'assemblage et de démonstration basé aux États-Unis, avec la possibilité de l'étendre à un centre de production et de service, ainsi qu’un stock de pièces détachées et centres logistiques pour répondre au haut niveau de service après-vente sont aussi prévus par Elixir. La société envisage de créer plus de 100 nouveaux emplois aux États-Unis dans les prochaines années, a déclaré Arthur Leopold Leger, PDG et cofondateur. Le début de cet investissement sera présenté à l'EAA AirVenture Oshkosh 2022, où Elixir exposera deux avions.

    Air et Cosmos du 18 juillet
  • Industrie
    Salon de Farnborough : 80 000 visiteurs et 30 entreprises françaises à partir du 18 juillet
    Au Salon aéronautique de Farnborough qui se tient du 18 au 22 juillet 2022, le GIFAS réunit 30 entreprises françaises qui présenteront leur savoir-faire sur le Pavillon France ou sur leur propre stand. Cette présence significative de l’industrie aéronautique et spatiale française dans l’un des salons professionnels les plus importants de l’année s’inscrit dans la logique de projection à l’export de l’ensemble de la filière et est l’occasion pour les industriels français de rencontrer leurs partenaires internationaux. « C’est le premier salon aérien mondial majeur depuis trois ans, depuis Le Bourget en 2019. Il y a donc sans aucun doute un plus grand enthousiasme que ce que j’ai vu auparavant à propos de Farnborough » affirme Gareth Rogers, directeur général du salon. 80 000 personnes sont attendues pendant les cinq jours du salon, selon son organisateur. En revanche, contrairement aux précédentes éditions, il n’y aura pas de week-end ouvert au grand public désireux de voir les démonstrations d’avions en vol. Seul le vendredi 22 juillet sera ouvert aux étudiants, apprentis et personnes envisageant une carrière dans le secteur aérospatial. Traditionnellement, le salon est l’occasion pour les avionneurs, principalement Airbus et Boeing, d’annoncer des grandes commandes. Lors de l’édition 2018, les commandes et engagements passés lors du salon avaient atteint un total de 192 Md$, représentant plus de 1 400 avions.

    Ensemble de la presse du 18 juillet

Défense
  • Défense
    Emmanuel Macron souhaite intensifier l’effort de Défense jusqu’en 2030
    Le défilé du 14 juillet, qui s'est ouvert par les drapeaux de 9 pays du front Est : Estonie, Lettonie, Lituanie, Pologne, République tchèque, Slovaquie, Hongrie, Roumanie, Bulgarie, a été l’occasion pour Emmanuel Macron de rappeler les objectifs de la France en matière de Défense. « Nous avons la première armée d’Europe », a-t-il répondu, alors qu’il était interrogé, lors d’une interview télévisée, sur la capacité du pays à faire face à un conflit de « haute intensité ». La revue de la Loi de programmation militaire (LPM) a commencé au ministère des Armées comme au sein de l’Etat-Major. Il s’agit de faire le point sur les projets en cours, d’identifier les besoins et les urgences révélées par le conflit en Ukraine et d’établir de nouvelles priorités. La Loi de programmation militaire prévoit de porter le budget de Défense de 41 Md€ en 2022, hors pension des militaires, à 50 Md€ en 2050. Soit un bond de 9 Md€ à faire entre 2023 à 2025 contre des hausses annuelles régulières de 1,7 Md€ depuis 4 ans. La Cour des comptes s'est déjà inquiétée de l'ampleur de ces nouvelles dépenses, sans pour autant remettre en question leur nécessité. La guerre en Ukraine met en lumière de nombreuses carences au sein de l'appareil français de Défense. Il est construit pour tirer l'excellence technologique de la France et pour mener des opérations « expéditionnaires » dans des conflits dits « asymétriques ». Il n'est en revanche pas dimensionné pour un conflit avec des puissances de même niveau que la France. « Parfois, nous avons besoin d’équipements plus simples, mais en plus grand nombre », a noté le Président, qui pointe du doigt les stocks, notamment de munitions, qui ont été taillés au plus juste par souci d’économie depuis la fin de la guerre froide. Les industriels devront s’adapter pour produire davantage si besoin. « Il nous faudra savoir basculer dans des logiques de programmes d’urgence, de programmes de résilience et de construction renforcée d’une stratégie d’indépendance », a-t-il insisté à l’Hôtel de Brienne. Dans cette « économie de guerre », « toute notre base industrielle de Défense est appelée à se recomposer et va devoir encore accélérer » a-t-il finalement déclaré.

    Ensemble de la presse du 15 juillet

Espace
  • Espace
    L’activité spatiale européenne affiche une croissance de 900 M€ par rapport à 2020
    Le secteur spatial en Europe, qui emploie aujourd'hui 53 000 personnes, a rattrapé l'an dernier le terrain perdu pendant la crise sanitaire avec un chiffre d'affaires de 8,6 Md€ en 2021, en croissance de 900 M€ par rapport à 2020, selon les données annuelles publiées le 13 juillet par Eurospace. Sur le long terme, l'activité spatiale progresse régulièrement, mais le secteur manufacturier souffre de la décélération des commandes de grands satellites géostationnaires de télécommunications, en attendant l'arrivée d'un nouveau cycle de commandes. Le total des satellites lancés dans l'Espace, en calculant leur masse (environ 370 tonnes par an au cours de la dernière décennie), relèvent à 80 % de commandes publiques institutionnelles, répondant aux besoins des Etats, des armées, des organismes de recherche, de la NASA ou de l'ESA. Pourtant, pour la première fois en 2021, la part des satellites envoyés dans l'espace par le secteur privé a dépassé celle du secteur public, la constellation Starlink bouleversant à elle seule la statistique. En deux ans, Starlink a mis en orbite 500 tonnes de satellites, contre 40 tonnes pour la constellation OneWeb. Les prochaines grandes constellations promues par des groupes privés comme Kuiper ou Telesat sont prévues plutôt à partir de 2024-2025. Sur une valeur de marché du secteur spatial estimée à 54 Md$ de satellites et charges utiles fabriqués l'an dernier, la Chine et les Etats-Unis sont en valeur au coude-à-coude, constate Eurospace, les fabricants européens de satellites ne représentant que 10 % de ce montant total. Le marché mondial des lancements ne dépasse, lui, pas les 10 Md$ avec un prix moyen de lancement du kilo sur les cinq dernières années de 17 000 $ en moyenne, contre 25 000 $ il y a 10 ans. L'Europe souffre du ralentissement du marché des satellites de télécommunications commerciaux et d'une demande institutionnelle faible. Avec Ariane 6 et Vega C, elle aura des lanceurs bien placés par rapport à la demande. Ni trop grosses ni trop petites, les fusées devraient répondre à l'essentiel des demandes, estime Eurospace, et jouer un rôle à partir de 2024 dans le déploiement de futures constellations.

    Les Echos du 15 juillet
  • Espace
    Ericsson, Thales et Qualcomm s’associent pour proposer un réseau 5G depuis l’Espace
    Les 3 groupes Ericsson, Thales et Qualcomm ont décidé de travailler conjointement pour proposer la 5G depuis l’Espace et couvrir ainsi les zones blanches : Ericsson dans les équipements de réseaux, Thales dans le spatial et Qualcomm dans les puces mobiles. Après avoir mené des recherches individuellement sur le sujet, ils ont décidé de collaborer pour conduire en commun la phase de test et de validation de cas d’usage de smartphones 5G à travers une constellation de satellites à orbite basse. Cette première phase, financée intégralement par les 3 entreprises, devrait durer 2 à 3 ans. « C’est un sujet important, affirme Franck Bouétard, PDG d’Ericsson France. Imaginez que vous être capable de disposer d’une continuité de service 5G en mer ou à bord d'un avion. Ça serait une révolution ». Pour mener les tests, Thales va reproduire sur l’un des sites français de Thales Alenia Space, sa filiale dans le spatial, l’environnement de l’Espace. S’ils sont concluants, il est envisagé de passer à une phase de test pilote dans l’espace, soit avec des satellites à orbite basse, soit sur la station spatiale internationale. Il faudra ensuite trouver un opérateur qui accepte de construire un réseau 5G dans l’Espace, ce qui suppose le lancement d’une constellation de plusieurs centaines de satellites à orbite basse.

    L’Usine Nouvelle du 18 juillet
  • Espace
    Le succès du vol de Vega C ouvre la voie à la commercialisation
    Le vol de qualification de Vega était crucial pour l'Europe spatiale en général, et en particulier pour Arianespace, qui commercialise les lancements de Vega C et d'Ariane 6. Le succès de ce vol de qualification ouvre désormais la voie à des vols commerciaux, dès novembre. A condition que le résultat de l'exploitation de toutes les données du vol de qualification de Vega C ne révèle aucun dysfonctionnement non détecté lors du lancement. A l'occasion de cette mission, Arianespace va placer en orbite Pléiades Neo 5 et 6, deux satellites qui compléteront la nouvelle constellation d'observation de la Terre d'Airbus. « Nous prévoyons actuellement un vol commercial en novembre et on verra si nous pouvons confirmer cette date sur la base des résultats techniques que nous allons avoir ces prochains mois sur le vol de qualification de Vega C », explique le directeur du transport spatial de l'Agence spatiale européenne (ESA), Daniel Neuenschwander, dans un entretien accordé à La Tribune. Arianespace doit en principe recaser cinq vols initialement prévus sur Soyouz (deux Galileo, CSO pour le compte du ministère des Armées, le télescope spatial Euclid et le satellite d'observation de l'atmosphère terrestre EarthCare de l'Agence spatiale européenne) vers Ariane 6 et Vega C. 7 Vega C ont déjà été achetées pour de lancements à la fois institutionnels et commerciaux, a communiqué Arianespace. L'Agence prévoyait une cadence de 3 lancements de Vega C par an, elle en vise désormais 4 dès 2023, et « des investissements pour augmenter la cadence à cinq » Vega C par an, « dans certains cas, nous avons l'ambition d'effectuer six vols du lanceur sur une période de 12 mois », avance Daniel Neuenschwander. Pour cela, l'ESA va proposer des investissements aux États membres lors du prochain conseil ministériel, un « paquet global » de 500 M€.

    La Tribune du 18 juillet

Aviation Commerciale
  • Aviation Commerciale
    Retour à la normale des créneaux d’aéroports en octobre 2022 ?
    La Commission européenne a annoncé pour le début de la prochaine saison hivernale le retour à la règle des 80/20 sur l’utilisation des créneaux de vols dans les aéroports (contre 64% actuellement pour la saison estivale), afin que les compagnies aériennes puissent répondre « plus souplement » à des situations imprévues. ACI Europe approuve, mais l’IATA (l’Association du Transport Aérien International) prédit des complications pour les passagers. Cette proposition présentée le 12 juillet 2022 par la Commission va maintenant être « examinée d’urgence » par le Parlement européen et le Conseil ; si elle est adoptée, les dispositions en matière d’allègement s’appliqueront à partir du début de la saison d’hiver, le 30 octobre 2022, et jusqu’au 26 mars 2024, « date à laquelle le trafic aérien devrait avoir pleinement repris » selon un communiqué. L’IATA s’est dit « préoccupée » par le fait qu’un retour prématuré aux règles d’utilisation des créneaux d’avant la pandémie dans l’UE cet hiver « risque de continuer à perturber les passagers ». Selon le représentant des compagnies aériennes, les règles mondiales sur les créneaux horaires constituent un « système efficace de gestion de l’accès et de l’utilisation de la capacité limitée des aéroports ». Ce système « a résisté à l’épreuve du temps et, bien que les compagnies aériennes souhaitent redémarrer leurs services, l’incapacité de plusieurs aéroports clés à répondre à la demande, associée à l’augmentation des retards de contrôle du trafic aérien, signifie qu’un retour prématuré à la règle 80/20 » pourrait entraîner d’autres perturbations pour les passagers. La Commission propose également un certain nombre de mesures spécifiques visant à atténuer les conséquences de l’agression de la Russie et à rétablir la connectivité aérienne entre l’UE et l’Ukraine « le moment venu ». Ces mesures prévoiraient, par exemple, une période de reprise de 16 semaines avant que les exigences relatives à l’utilisation des créneaux ne soient de nouveau applicables une fois l’espace aérien ukrainien rouvert, ainsi que la possibilité d’adopter un acte délégué visant à réduire le taux d’utilisation des créneaux sur les liaisons entre l’UE et l’Ukraine.

    Air Journal du 15 juillet