Synthèse de presse

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    Avec le satellite KOREASAT 6A, Thales Alenia Space poursuit sa série de succès en 2022
    Après SES 24, Intelsat 41 et 44 et Arabsat 7A, Thales Alenia Space a gagné l'appel d'offres très convoité du principal opérateur de communication par satellite de Corée du Sud, KT SAT Corporation Ltd (KT SAT) et va construire le satellite de télécommunications KOREASAT 6A, a annoncé le groupe dans un communiqué lundi 12 septembre. Thales Alenia Space fait très fort, en signant 5 satellites de télécoms sur 6 contrats en 2022. Seul le satellite Nusantara Lima de l'opérateur indonésien PSN lui a échappé pour atterrir dans les filets de Boeing. KOREASAT 6A est le « cinquième satellite fourni à KT SAT par Thales Alenia Space », a rappelé le PDG de TAS, Hervé Derrey. Ce satellite d'environ 3,5 tonnes au lancement, qui doit être livré au 4ème trimestre 2024, est conçu pour une durée de vie de 15 ans. « KOREASAT 6A permettra à KT SAT d'offrir des services satellitaires de la plus haute qualité à ses fidèles clients sur le long terme. Nous nous réjouissons à la perspective de développer durablement l'activité satellite de KT SAT en coopération avec Thales Alenia Space », a expliqué le Président de KT SAT, David Kyungmin Song. KOREASAT 6A remplacera l'actuel satellite KOREASAT 6 et fournira des services fixes (FSS) et de radiodiffusion par satellite (BSS) à la Corée.

    La Tribune du 14 septembre
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    Sodern signe un accord avec Redwire pour la production du viseur d’étoiles Eagle Eye aux Etats-Unis
    L’équipementier français Sodern, filiale d'ArianeGroup, et la société américaine Redwire, un des leaders des infrastructures spatiales, ont signé un accord, après 18 mois de discussions, pour produire ensemble aux Etats-Unis le viseur d'étoiles Eagle Eye. Sodern fournira les têtes optiques des futurs viseurs d'étoiles Eagle Eye à partir de la technologie d'Hydra, et Redwire, pour sa part, fabriquera les boîtiers électroniques en intégrant les algorithmes de Sodern. Puis, il assemblera le tout dans son usine de production de Marlborough (Massachusetts), et vendra les viseurs d'étoiles aux grands maîtres d'œuvre du secteur spatial américain (Boeing, Northrop Grumman, Lockheed Martin, etc.). « Ces viseurs d'étoiles seront fabriqués par la base industrielle et technologique de Défense américaine », a assuré le Directeur général adjoint de Sodern, Vincent Dedieu, qui a signé lundi 12 septembre cet accord avec le PDG de Redwire, Peter Cannito, lors de la conférence spatiale World Satellite Business Week, à Paris. Eagle Eye sera bien estampillé par l'indispensable « Buy american act », qui va progressivement devenir obligatoire pour toutes les entreprises étrangères qui veulent vendre au ministère de la Défense américain (DoD). A terme, Vincent Dedieu souhaite augmenter les ventes de l'activité de viseurs d'étoiles (plus de 30 M€ de chiffre d'affaires), « de plus de 50% » grâce aux ventes réalisées aux Etats-Unis via Redwire, qui a réalisé 137,6 M$ de chiffre d'affaires en 2021.

    La Tribune du 14 septembre
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    La startup Latitude a été sélectionnée par le CNES pour intégrer le Centre spatial guyanais
    Latitude, ex-Venture Orbital Systems, connue pour avoir mis au point un micro-lanceur pour petits satellites, a été retenue par le Centre national d'études spatiales (CNES) pour intégrer le Centre spatial guyanais. L'usine de la startup située à Reims a été inaugurée il y a un an à peine, et devrait permettre de tenir son objectif de lancer 50 fusées Zéphyr chaque année en 2027. Mesurant 17 m de hauteur, ces fusées sont capables de placer en orbite basse (500 km environ) des satellites d'une centaine de kilos. Cette décision du CNES ouvre de belles opportunités à Latitude, qui opérera, en parallèle, depuis la base SaxaVord, dans les îles Shetland, en Ecosse. De l'hémisphère Nord, ses lanceurs pourront atteindre facilement une orbite polaire. De Guyane, ils pourront gagner une orbite tropicale. « Travailler à partir de ces deux sites va nous offrir de la flexibilité. Nous pourrons répondre à l'ensemble des demandes », justifie Stanislas Maximin, le PDG de Latitude. Les premiers essais en conditions réelles sont prévus en novembre. La startup a levé 10 M€ en juin auprès de Crédit Mutuel Innovation, du fonds Expansion, de Bpifrance, d'UI Gestion et d'investisseurs industriels. « L'objectif est bien de finaliser notre lanceur, de mener la campagne d'essais sur le moteur Navier, mais aussi de développer les moyens au sol », détaille Stanislas Maximin. Latitude, qui compte 65 salariés, recrute actuellement une dizaine de personnes.

    Les Echos du 14 septembre

Industrie
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    La phase d’assemblage de l’A321neo débutera vers la fin de l’année en Chine
    Les aérostructures du 1er A321neo, qui doit être assemblé sur le site d'Airbus en Chine, ont été réceptionnées par le port de Tianjin le 10 septembre. Les éléments, des parties de fuselage et nez, devaient être convoyés ce 13 septembre vers le site d'assemblage final. La phase d'assemblage doit commencer d'ici à la fin de cette année. Le site de Tianjin, comme ceux d'Hambourg, de Mobile et de Toulouse, participe à la remontée des cadences de production de la famille A320neo. A la fin août 2022, Airbus avait en carnet près de 3 700 A321neo à livrer dont plus de 500 A321XLR. Dans ses différentes versions, l'appareil représente désormais 50% du total des livraisons encore à réaliser par le constructeur européen. La campagne d'essais en vol lancée par le 1er vol d’un A321XLR en juin dernier continue de suivre son cours. Comme prévu, le MSN11000 sera rejoint par 2 autres appareils auxquels s'ajoutera un A321neo de série, doté de plusieurs nouvelles fonctionnalités conçues pour le XLR. Par ailleurs, les 2 moteurs qui propulseront l'A321XLR, le Pratt & Whitney GTF et le CFM Leap-1A seront certifiés dans le même intervalle. Jusqu'alors, les variantes moteurs étaient certifiées, l'une après l'autre.

    Air & Cosmos du 14 septembre
  • Industrie
    CorsoPatch, la solution de réparation de peinture innovante de CorsoMagenta
    CorsoPatch a été breveté par CorsoMagenta et a été récemment présentée à l'occasion du salon international de Farnborough. L'origine du projet remonte à 2016, sous la forme d'un projet de la Direction Générale de l'Armement (DGA) « RAPID » (Régime d'APpui à l'Innovation Duale) soutenu par l'AID (Agence de l’Innovation de Défense) et en collaboration avec Airbus et Air France Industrie. Ce patch de réparation peinture innovant, beaucoup plus rapide qu'une reprise standard, facile à mettre en œuvre, permet à la fois un gain de temps et d'argent. CorsoPatch permet une réduction de 30% du coût complet d'une réparation. Sur le pan environnemental, cette nouvelle solution présente un gain de déchets. Pour une procédure normale, ce sont entre 50 et 80% de la préparation de la peinture qui sont jetés, en raison des quantités minimales à mélanger en cas de réparation. CorsoPatch a notamment été labélisé par Solar Impulse comme étant une solution efficiente. Certifié par l'OSAC (Organisme pour la Sécurité de l'Aviation Civile), CorsoMagenta est capable de produire des pièces en accord avec les exigences aéronautiques. Approuvé par l'Agence européenne de la sécurité aérienne (AESA), CorsoPatch va désormais être présenté aux États-Unis et plus largement en Amérique du Nord.

    Air & Cosmos du 13 septembre
  • Industrie
    AviaSim exporte ses simulateurs aéronautiques en Amérique du Nord
    Présent sur le marché de la simulation aéronautique de loisirs en France, en Belgique et en Suisse, AviaSim, le réseau de simulation aéronautique pour les pilotes professionnels, les entreprises et les particuliers, prépare un nouveau développement en Amérique du Nord. L’entreprise de Villeurbanne a bouclé une augmentation de capital de 1 M€ afin de financer ses ambitions outre-Atlantique. Cette levée de fonds a pu se concrétiser grâce à l’action conjointe de son investisseur Xavier Loosveldt, d’une dotation de Bpifrance et de prêts de banques partenaires : 200 000 € en equity, 250 000 € du programme assurance prospection de Bpifrance et 550 000 € de prêts du Crédit Agricole et du CIC. Depuis la crise sanitaire, l’entreprise, créée en 2012 par Thomas Gasser, a élargi son offre. Un partenariat a été signé avec Accor en France pour proposer des packages loisirs et hôtellerie. Des discussions sont en cours avec un leader de l’hôtellerie en Amérique du Nord pour dupliquer ce modèle.

    Le Tout Lyon du 14 septembre

Emploi
  • Emploi
    L'industrie aéronautique à l’œuvre pour féminiser ses métiers
    En proie à d'importantes difficultés pour trouver des candidats sur les postes à pourvoir, l'industrie aéronautique accentue ses opérations auprès du public féminin. La Tribune prend comme exemple une initiative menée en Occitanie, de rencontres entre des femmes sans emploi ou formation et des recruteurs du 1er secteur d'activité de la région. « Au-delà de la féminisation des métiers de l'aéronautique, le véritable sujet c'est l'accès à l'emploi », tient à souligner Annie Brinet, la Directrice des centres Afpa sur l'agglomération toulousaine. « L'idée est de trouver des femmes intéressées par les métiers en ateliers au sein de l'industrie aéronautique comme peintre, chaudronnier, ajusteur-monteur ou intégrateur cabine car ce sont des métiers en tension dans la filière. Nous tentons d'apporter des solutions aux employeurs en manque de ressources humaines tout en renforçant la mixité de ces métiers » explique Audrey Isus, la responsable d'agence Toulouse-Blagnac du réseau Adéquat, spécialisée sur l'industrie aéronautique. Rien que l'agence Adéquat de Toulouse-Blagnac propose actuellement 350 postes à pourvoir immédiatement en intérim chez Airbus et 180 chez ses sous-traitants, CDI et intérim confondus. Airbus Opérations a embauché 550 intérimaires depuis le début de l'année 2022 et en a toujours besoin à hauteur de 250, tous métiers confondus. Recruter des femmes serait une bonne chose pour le groupe, l’usine de Saint-Éloi compte seulement 8% de femmes et souhaite monter ce chiffre à 30%. Ludovic Asquini, Président de Nexteam et vice-Président du Comité Aéro-PME au GIFAS souligne : « Nous recrutons des femmes pour leurs compétences ou leur aptitude à apprendre quand il s'agit d'une formation ». Les avionneurs et leurs sous-traitants auront besoin de recruter environ 15 000 personnes, sur l'ensemble du territoire français, en 2022 et début 2023. Le GIFAS a lancé à cet effet la campagne « L’AÉRO RECRUTE », qui consiste à mettre en lumière les métiers en tension et les offres à pourvoir dans l'industrie aéronautique.

    La Tribune du 14 septembre

Environnement
  • Environnement
    A l'aéroport du Bourget, l’aviation d’affaires commence à faire le plein en carburant durable
    Depuis moins d’un an, l’aéroport Paris-Le Bourget, le 1er en Europe en matière de mouvements d’avions d’affaires, propose aux opérateurs l’accès à du carburant aérien durable (SAF). 2 industriels de l’énergie, le français TotalEnergies et le finlandais Neste, sont derrière cette alternative au kérosène traditionnel. TotalEnergies met à contribution la bioraffinerie de La Mède (Bouches-du-Rhône) et son usine d’Oudalle (Seine-Maritime). L’acheminement du carburant, contenant environ 30% de SAF, se fait ensuite par camion. Si TotalEnergies ne produit et ne distribue du SAF qu’en France pour le moment, il fournit déjà les aéroports de Bordeaux et de Clermont-Ferrand. Une autre de ses plateformes, à Gonfreville-L’Orcher (Seine-Maritime), produira dès 2024 du SAF sur son site en reconversion de Grandpuits (Seine-et-Marne). Le groupe prévoit une production de 300 000 tonnes en France en 2024. De son côté, Neste s’est pour sa part rapproché de l’aéroport Paris-Le Bourget en juillet. Le carburant du groupe finlandais est disponible sur une quinzaine d’aéroports dans le monde. Neste, l’un des pionniers en la matière, a établi une feuille de route mondiale visant à produire 100 000 tonnes de SAF en 2022, puis 1,5 million de tonnes en 2023 et 2 millions de tonnes en 2025. Le SAF est aujourd’hui perçu comme le levier le plus accessible et le plus efficace à moyen terme pour atteindre la neutralité carbone en 2050. « Le SAF offre une réduction allant jusqu’à 90% des émissions de CO2 sur l’ensemble du cycle de vie par rapport à son équivalent fossile. Sur la base d’un plein avec un taux de SAF de 30%, cela revient à une réduction des émissions de CO2 de 27% pour un vol donné » certifie Stéphane Basset Chercot, Directeur marketing et ventes chez TotalEnergies Aviation. Selon l’Association du transport aérien international (IATA), il faudrait que la production mondiale passe de 16 millions de tonnes en 2030, à 323 millions de tonnes en 2050.

    L’Usine Nouvelle du 14 septembre
  • Environnement
    Emmanuel Macron refuse toute « démagogie » face à l’urgence climatique
    Lors d’une rencontre avec une centaine de journalistes de l’Association de la presse présidentielle lundi 12 septembre, le chef de l’Etat a confirmé son cap pour contribuer à la sauvegarde de la planète : sa ligne reste européenne et progressiste, faite d’efforts plus que de sacrifices. Aucune contradiction entre l’agenda climatique, l’agenda économique et la soif de justice sociale du pays, à ses yeux. Il faut savoir tenir les trois ensemble, sans verser dans la « démagogie » ni le « contre-signal », a-t-il insisté. Opposé à la régulation de l’usage des jets privés ou à la taxation des superprofits à l’échelle nationale, le chef de l’Etat privilégie une réponse à l’échelle européenne et sur le long terme. La question d’une interdiction, d’une taxation ou même d’une régulation de l’usage des jets privés sur le sol français, qui agite l’opposition de gauche et a été évoquée par son ministre des Transports, Clément Beaune, est balayée d’un revers de la main par le Président. L’échelle la plus efficace pour y répondre doit être, selon lui, européenne. Il imagine ainsi un mécanisme de comptabilisation des émissions de CO2, au sein de l’Union. Le chef de l’Etat a insisté sur le devoir collectif pour que les efforts soient équitablement répartis, souhaitant que le coût du carbone soit davantage pris en compte. Au mot « taxation », il préfère toujours celui « d’incitation », la transition climatique ne peut être que « sociale et juste », sans compromettre l’activité économique. Emmanuel Macron a ainsi vanté des politiques environnementales « longues et ambitieuses », faites d’investissements et de progrès.

    Le Monde du 14 septembre

Aviation Commerciale
  • Aviation Commerciale
    Air India loue 21 A320neo, 4 A321neo et 5 B777-200LR en attendant les fonds pour une nouvelle grosse commande
    Air India a annoncé dans un communiqué qu’elle allait prendre en leasing 30 avions, dont 21 A320neo, 4 A321neo et 5 B777-200LR, sans toutefois préciser le ou les loueurs. Les B777-200LR seront livrés entre décembre 2022 et mars 2023 et seront déployés sur des lignes reliant l’Inde à des destinations aux États-Unis. Les 4 A321neo seront livrés au 1er trimestre 2023 tandis que les 21 A320neo seront livrés au 2ème trimestre 2023. L’arrivée de ces 30 appareils, qui ajouteront 25% de capacité à sa flotte, marquera la 1ère expansion majeure d’Air India depuis que le groupe industriel Tata a pris le contrôle de la compagnie aérienne indienne en janvier 2022. « Ces nouveaux avions, ainsi que les avions existants remis en service, répondent à un besoin immédiat de plus de capacité et de connectivité et marquent un grand pas en avant » a déclaré le Directeur général d’Air India, Campbell Wilson. La location de ces 30 appareils permettra à la compagnie de relancer des liaisons en attendant qu’elle ne trouve les fonds nécessaires pour une commande de 200 à 300 nouveaux avions selon la presse locale. L’ancienne compagnie nationale indienne, désormais privée, dispose d’une flotte de 87 avions opérationnels à l’heure actuelle, et 26 avions au sol, prêts à être progressivement remis en service d’ici début 2023.

    Air Journal du 14 septembre

Défense
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    Aux coopérations européennes incertaines, le chef de la Bundeswehr préfère des matériels déjà disponibles
    Le chef d’état-major de la Bundeswehr, le général Eberhard Zorn, était appelé à s’exprimer devant le DGAP, le Conseil allemand des relations étrangères, lundi 12 septembre, au côté de la ministre allemande de la Défense, Christine Lambrecht. Ensemble, ils sont revenus sur les coopérations lancées en 2017 par la France et l’Allemagne, qui ont du mal à avancer. « Je veux des matériels qui volent, qui roulent et qui sont disponibles sur le marché. Pas de développement de solutions européennes qui, au final, ne marchent pas. Je ne citerai pas d’exemples ici. Ce serait presque du dénigrement des entreprises », a ainsi lancé le général Eberhard Zorn. Le Système de combat aérien du futur (SCAF), rejoint par l’Espagne, est actuellement suspendu à un accord entre Dassault Aviation et les filiales allemande et espagnole d’Airbus. Même chose, dans l’armement terrestre, pour le Main Ground Combat System (MGCS) le char de combat du futur, qui fait l’objet d’une mésentente entre Nexter et Rheinmetall, qui, pourtant, ne devait pas y participer au départ. Un autre programme, le Maritime Airborne Warfare System (MAWS), censé permettre le renouvellement des avions de patrouille maritime français (Atlantique 2) et allemand (P-3C Orion) est désormais incertain, compte-tenu de la décision de Berlin d’acquérir, dans un premier temps, 5 P-8A Poseidon auprès de Boeing. Quant au développement du standard Mk3 de l’hélicoptère d’attaque Tigre, l’Allemagne a finalement décidé de ne pas s’y impliquer. Christine Lambrecht estime, quant-a-elle, que l’Allemagne doit être prête à assumer un nouveau rôle militaire, afin de renforcer le pôle européen de l’OTAN. « La taille de l’Allemagne, sa position géographique et son poids économique font de nous une puissance de 1er plan, que nous le voulions ou non. C’est également le cas pour ce qui est du rôle militaire. » a-t-elle déclaré. Ce rôle militaire doit justement être développé dans une « stratégie de sécurité nationale », qui sera publiée d’ici la fin de l’année. Si la ministre de la Défense a évoqué les coopérations européennes, c’est surtout sous l’angle des « achats communs » : « Pour pouvoir mieux acheter ensemble, nous avons besoin d’agences d’achat européennes communes », a-t-elle dit, en citant l’Agence européenne de défense (AED) et l’Organisation conjointe de coopération en matière d’armement (OCCAr).

    Ensemble de la presse du 14 septembre